Voici un badge reprenant le slogan de la Villain School, « Bad is Good », de l’emblématique Stratequerre du manga Sentaï School !
Avec son attache en épingle, c’est l’accessoire idéal pour vous suivre partout au quotidien !

L'oeuvre :
Initialement publié entre 2002 et 2008 et devenu culte depuis, Sentaï School a été l'une des premières oeuvres françaises publiée dans un format influencé par le manga, dans un rythme feuilletonant par épisodes, avec un style mélangeant humour absurde, parodies et références à toute la pop culture des années 80, 90 et 2000. La série fait son retour en 2016 après un crowdfunding sur Ulule (75000 euros récoltés pour 17000 demandés) avec la republication des 5 tomes originaux, et en 2017, pour fêter les 15 ans de ce précurseur du manga français. Depuis, la série continue avec de nouveaux tomes inédits chez Olydri éditions...
Licence :
Sauver le Monde ? Défendre la Terre contre les Forces du Mal ? Pour pouvoir y arriver il suffit de rejoindre la Sentaï School, la première école de Super-Héros ! Avec ses cours de rayons destructeurs, de capes, de ténêbritude, et bien d'autres, Ken, Toâ, Hongô, Duke et Keiji seront bientôt prêts à combattre les méchants... Enfin, s'ils ne font pas exploser leur propre établissement avant ! Entre un sérial voleur sur le campus, un visiteur d'un autre pays, des élèves d'un autre siècle, des professeurs plus qu'étranges et l'ouverture d'une école des méchants sur le trottoir d'en face, les cours risquent d'être perturbés !
Auteur :
Philippe Cardona et Florence Torta forment une équipe depuis 17 ans. Philippe est dessinateur, Florence est coloriste et tous deux scénarisent Sentaï School. Sous leur plume, ont notamment vu le jour les bandes dessinées Sentaï School, Foot 2 rue (Cardona), Entre chien et loup (Torta), Rolqwir, Noob et Néogicia.

Synopsis :
A la Sentaï School, pas de grève des profs, pas de RTT, pas de récup’ pour journées pédagogiques… C’est qu’à la Sentaï School on forme des super-héros, du dur, du vrai !
Alors pour les candidats potentiels, faudrait voir à bétonner la lettre de motivation et blinder le CV, gare aux cancres…